L'art délicat de passer pour un con
"Quoi de plus grand
que ces instants suspendus
Où rien ne compte plus vraiment
Rien de plus troublant
Une boulettes, une bévue,
Une chute devant des inconnus
Et hop, l'affaire est entendue
Ces grands moments de solitude
Ne sont ma foi qu'une question d'habitude
Au début, les secondes se déguisent en heure
On a chaud et puis l'on sue
C'est in situ qu'on apprécie le mieux
L'art délicat de passer pour un con
Une veste, un vent
Appelez ça comme vous voudrez
Une claque ou que sais-je un soufflet
Rien, rien ne vaut ces
Parenthèses enchantée quand d'emblée
le ridicule vous embrasse,
Que dans l'assemblée
Un ange passe
Acculé, pris au piège, confondu
Comme ça aux yeux de tous, à demi nu
C'est in situ qu'on apprécie le mieux
L'art délicat de passer pour un con "
tété, ces grands moments de solitude
Dédicacé à ma mère qui ce matin à l'école a confondu une maman avec la stagiaire d'IUFM qui est malade (oui, visiblement c'est BIEN de famille)
(je sais quel est le pire, qu'elle ai cru que la stagiaire était copine avec la maman et que donc c'est pour ça qu'elle amenait la gamine de l'autre à l'école (attention la logique implacable du raisonnement rationnel) ou que la mère ai réagit normalement quand elle lui a balancé un "ah tu reviens ! ça va mieux" "oui oui ça va mieux" o___O ?)
Allez, vivement les vacances .... MDR
que ces instants suspendus
Où rien ne compte plus vraiment
Rien de plus troublant
Une boulettes, une bévue,
Une chute devant des inconnus
Et hop, l'affaire est entendue
Ces grands moments de solitude
Ne sont ma foi qu'une question d'habitude
Au début, les secondes se déguisent en heure
On a chaud et puis l'on sue
C'est in situ qu'on apprécie le mieux
L'art délicat de passer pour un con
Une veste, un vent
Appelez ça comme vous voudrez
Une claque ou que sais-je un soufflet
Rien, rien ne vaut ces
Parenthèses enchantée quand d'emblée
le ridicule vous embrasse,
Que dans l'assemblée
Un ange passe
Acculé, pris au piège, confondu
Comme ça aux yeux de tous, à demi nu
C'est in situ qu'on apprécie le mieux
L'art délicat de passer pour un con "
tété, ces grands moments de solitude
Dédicacé à ma mère qui ce matin à l'école a confondu une maman avec la stagiaire d'IUFM qui est malade (oui, visiblement c'est BIEN de famille)
(je sais quel est le pire, qu'elle ai cru que la stagiaire était copine avec la maman et que donc c'est pour ça qu'elle amenait la gamine de l'autre à l'école (attention la logique implacable du raisonnement rationnel) ou que la mère ai réagit normalement quand elle lui a balancé un "ah tu reviens ! ça va mieux" "oui oui ça va mieux" o___O ?)
Allez, vivement les vacances .... MDR
Libellés : Le Délirium
1 Comments:
Salut Lutine ! Je suis très fan de Tété depuis des années... N'est-ce pas qu'il est excellent... et dis moi, connais-tu l'excellentissime "Une bonne paire de claque"??? Nan c'est pas un message subliminal... juste une chanson terrible que j'adore !
BISES
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